- Quelles sont les possibilités pour l’enfant de fréquenter une maternelle ou une école dont l’enseignement est dans sa langue natale la plus faible ?
- Dans sa localité, l’enfant peut-il faire sa scolarité dans l’une de ses langues natales ?
- Quel type d’activités sont proposées hors du foyer dans la langue natale la plus faible de l’enfant ?
- Où pouvons-nous rencontrer d’autres familles qui parlent la même langue ?
- Où l’enfant pourrait-il jouer avec d’autres enfants qui parlent la même langue ?
- Propose-t-on dans notre localité des activités ou des événements culturels dans la langue natale la plus faible de notre enfant ?
- Serait-il possible de trouver une garderie où l’on parle la langue natale la plus faible de notre enfant ?
- Comment le temps passé avec l’enfant peut-il être divisé entre parents de sorte qu’il puisse au plus tôt entendre chacune de ses langues natales ?
Ce texte est basé principalement sur la publication ”Äidinkielenä kaksikielisyys. – Kaksikulttuuristen perheiden näkökulmaa kaksikielisyyteen.” (Tanja Del Angel, Familia ry, 2015)
Plus d’informations sur le bilinguisme : http://www.duoduo.fi/kaksikielisyys.html